Pour une fois, l’extérieur ça nous a aidé
Barrières autour du parc, bénévoles « covid », moins de communication sur l’événement, une programmation musicale adaptée, convaincre les autorités, faire confiance au public… Le festival des mini BPM a dû faire face aux multiples règlementations et contraintes pour organiser depuis le 4 septembre les sessions du dimanche après-midi au parc de la Roche.Malgré un premier refus de la ville et le scepticisme de certains membres de l’asso, ça n’a pas effrayé Tristan qui l’a plutôt pris pour un challenge, persuadé que l’événementiel peut se réinventer lui aussi. Et en extérieur, c’est forcément plus facile.
Ça va nous roder pour le futur
Malgré toutes les contraintes que le virus implique, les BPM ont souhaité offrir un moment de décompression aux fêtard·e·s de jour. L’avantage : aucune difficulté à trouver des artistes, des bénévoles et du public. Et surtout, un public et des artistes encore plus heureux·ses que d’habitude !Pour Tristan, le virus ne doit pas tout stopper. "On a déjà su s’adapter dans différentes situations jusqu’à présent". Le challenge est là : montrer comment les acteurs et actrices culturels peuvent être créatifs et s’adapter face à cette situation. Les BPM seraient-ils un exemple pour les festivals de plein air à venir ?
Un article, et une interview réalisés par Morgane Le Coeur.