C’est le « stand-up triste » d’une femme trans. Rythmée par son verbe, son tact et ses punchlines, l’histoire que Laurène Marx raconte n’est pas que la sienne, c’est celle des minorités et, au final, de toute une société. Par le détail et par la chair, l’autrice-performeuse aborde la transition, la norme et la représentation, répandant autour d’elle le feu et la tendresse.

En coréalisation avec le TU-Nantes scène jeune création et arts vivants.

4 représentations du 28 au 31 janvier.

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