C'est une évidence, le monde de la nuit et la fête au sens large figurent parmi les grandes victimes de l'épidémie de Covid-19.
Les secteurs culturels liés à ces secteurs en pâtissent déjà et devraient subir très longtemps les retombées de cette situation inédite.
"Or, la période nous aura appris que quoiqu'il se passe, la population a besoin de se rencontrer, de partager, s'éveiller, s'émerveiller",
écrit le collectif Culture Bar-Bars sur son site.
Partant de ces différents constants, et contraint d'annuler son traditionnel festival, le collectif Culture Bar-Bars ne s'avoue pas vaincu et lance les États généraux du droit de la fête.
Du 23 au 29 novembre, des acteur·trice·s du monde de la nuit français et européens, des chercheur·euse·s, des pouvoirs publics vont débattre, réfléchir, s'interroger sur la situation et construire ensemble des pistes de solutions.
A l'issue de l'événement, un livre blanc sera remis au Président de l'Assemblée nationale mais aussi aux maires et à tou·te·s les élu·e·s des territoires.
Prun' a interviewé David Milbéo, directeur adjoint du Collectif Culture Bar-Bars.
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